Le Smic continue d’évoluer depuis janvier 2018, elle est passée à 9,88 euros brute pour 7,61 euros en nette, d’un terme simple, le salaire minimal est de 1 498,47 euros par mois pour 35 heures de travaille à la semaine. De ce fait, le salaire devient discutable !
Qu’est-ce que les économistes pensent du Smic actuel ?
Ce sont les jeunes qui seront très contents de cette hausse du Smic. Eux, qui n’ont que leur formation d’apprentissage de 6 mois vont être sur le même niveau qu’un professionnel avec 20 ans de services. Alors, on va préconiser la retraite anticipée de papa. Cette hausse du Smic va encore coûter une grosse somme à l’économie, et d’une part, c’est vrai. En plus de ce temps de travail pour 35 heures par semaine, il y a de quoi à bouffer le sac économique. En plus, la dégression des cotisations salariale est une minime solution, parce qu’en effet, cela ne sert qu’à peu de choses, donc on travaille quand même pour payer nos repas de tous les jours. Pour les travailleurs, il y a de quoi se réjouir, mais tout repose sur comment va-t-on calculer la dépense en consommation. Il est important de bien justifier cette base horaire smic pour avoir un salaire motivant. Et on passe par une analyse de la performance des travailleurs.
Le smic régularisé en éliminant la cotisation salariale
Il y a toujours des points néfastes pour l’effet de l’augmentation du Smic. Cette hausse ne va pas du tout oxygéner la trésorerie du patron. D’une certaine manière, le Smic est trop cher et c’est juste une réforme pour effacer l’emploi. Ensuite, on se galère toujours avec ce pourcentage de taux patronal, ce qui peut également donner quelques réflexions pour ce décroissement de cotisation sociale. En effet, on a beau baissé les cotisations sociales en éliminant l’indemnité des retraités, ce qui va aussi poser un point d’interrogation sur la tête, « Est-ce qu’on sera indemnisé à la retraite ? ». Eh bien, d’un simple coup d’œil, oui, cela va peser sur cette petite somme de retraite, mais cela nécessite en quelques sorte une demande d’effort au travail avant la retraite. Mais il n’y a pas que la retraite, il y a également la zéro indemnité de chômage qui est un débat à part.
La pauvreté pèse encore sur l’économie de l’Etat, que même en augmentant le pouvoir d’achat, ce n’est pas encore assez pour régulariser la balance.